La truite représente un salmonidé à l’état sauvage qui adore les eaux vives et limpides. Spécialement carnivore, elle s’alimente en plein air de vers, d’insectes et quelquefois de petits poissons.
De la famille du polymorphe et est hypothétiquement une race invasive en Amérique du Nord. En fonction des espèces locales et la position côtière ou continentale d’un ruisseau, un pourcentage très variable des salmotrutta qui y voient le jour peuvent effectuer une migration en mer.
La truite originelle : truite fario
En France, habituellement, on rencontre quatre sous-variétés de la truite : la truite fario ou Salmotruttafario, la truite de mer ou Salmotruttatrutta, la truite de lac ou Salmotruttalacustris et la truite de Corse dite Salmotruttamacrostigma. Ainsi, la truite de rivière appelée truite fario est l’origine des espèces ayant grandi exclusivement en canal. Leur coloris varie en fonction de l’habitat : robe très ombreuse sous les roches ou dans les ruisseaux ombrageux ou claire pour les truites résidant dans des lieus plus éclairés. Elle a un dos ténébreux de couleur brune ou grise olivâtre.
Race primeur élevé en France : truite arc-en-ciel
Quant à la truite arc-en-ciel dite Oncorhynchusmykiss, elle a été déchargée au 21e siècle dans l’Europe entière. Son avantage économique s’avère crucial ; elle incarne la première race de poissons cultivée en France. Il faut approximativement une année afin que la truite d’élevage gagne le volume de 350 grammes et 2 ans pour 2,5 Kg. Elle se différencie du saumon par des taches noires sur le corps, un museau évasé et une base de queue plus vigoureuse.
Ce beau poisson, généralement vu subrepticement dans les cours d’eau argentins, est le type emblème de la protection de l’environnement. La truite se raréfie. Sa présence signifie que le ruisseau est en bon état car elle ne peut se procréer que dans des eaux eutrophisées qui s’enlisent.