Sport, loisirs et état d’esprit, la pêche est aussi technique, nécessite la compréhension du poisson et son milieu s’avère important ainsi que la connaissance du matériel que l’on emploie. La météorologie reste un élément crucial à la pêche et à sa fécondité.
Ainsi, la lune influe sur la planète et ses éléments. De ce fait, elle engendre l’action des marées qui met en activité d’importantes quantités d’eau et par conséquent une variation de la fluctuation des marées. On a toujours cru que ce brassage régentait la subsistance des poissons.
Conclusion de john alden knight
En 1930, un américain appelé John Alden Knight a méticuleusement approfondi les diverses puissances extérieures qui influeraient sur l’attitude des poissons. Il aconclu que l’énergie bouleversant la vie de ces derniers n’était aucunement les flux, mais plutôt les corps célestes tels que le soleil et la lune. Par conséquent, John a fait de multiples séries de relevés menant à la fabrication, en 1936 de la fameuse table solunaire qui prend en compte l’heure du lever et du coucher des astres et les variétés d’étapes lunaires.
Démonstration de la table solunaire
Pour démontrer sa doctrine et tous ses calculs, il se sert de sa table solunaire pour aller pêcher. Résultat, sur 200 captures, c’est à 90 %, et ce, sur les phases estimées par la table, qu’il a obtenu une confirmation que le mouvement des poissons est orchestrée par les 2 corps célestes, que ce soit en eau douce ou en mer. Ses études ont permis aux pêcheurs d’obtenir de bonnes prises.
Dans la journée, il existe quatre cycles, 2 le matin et 2 le soir, concordants au moment où le soleil et la lune se lèvent ou se couchent. Ainsi, plus ses deux astres se trouvent à proximité de la planète et plus ils se répercutent sur le mode de vie de la flore aquatique. Et quand les trois astres se mettent en ligne, une énorme hallebarde d’activité est enregistrée.